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Descendants

Antoine COGNARD
 
3e génération

1932-1980
Etat civil
Référence : 4
Sexe :
Nom : COGNARD
Prénom : Antoine
Anthroponymie : Cognard/Coniat - "homme brutal, surnom du bûcheron, ou paresseux" ou alors "bel ours, guerrier robuste, chien guerrier"
Date naissance : 20.07.1932
Lieu naissance : Cloître-Pleyben (29) Ti Toby
Notes : Mairie du Cloître = cf acte § Documents
Date décès : 29.04.1980
Lieu décès : Ergué-Gabéric (29) Croas-ar-Gac
Profession : Ouvrier
Parents et fratrie
Père : Jean COGNARD (8)
Mère : Catherine LE DU (9)
Frère-soeur(s) : Anna COGNARD (4a)
- 24.03.1934 - Cloitre-Pleyben (29) Ty-Doby
 
Micheline Marie COGNARD (4b)
- 25.01.1936 - Cloitre-Pleyben (29) Ty Doby
mariée, 1 enfant(s),
Union(s) et descendance
Alliance : Thérèse MARZIN (5)
Mariage : 10.07.1957 - Cloitre-Pleyben (29)
Notes : Mairie du Cloître = cf acte § Documents
Enfant(s) : Jean COGNARD (2)
- 27.05.1958 - Quimper (29)
marié, 3 enfant(s),
Pierrick COGNARD (2a)
- 27.06.1960 - Quimper (29)
marié (2x), 1 enfant(s),
Guy COGNARD (2b)
- 19.09.1962 - Quimper (29)
marié (2x), 5 enfant(s),
Daniel COGNARD (2c)
- 13.03.1965 - Quimper (29)
marié, 2 enfant(s),
Notes

INSTRUCTION :

  • Passe son brevêt, reçu à la première partie, mais pas à la seconde.
  • Prend des cours de secourisme en 1971 à l'usine Bolloré où il travaille. Le guide de secourisme est un des rares livres qu'il lit à l'âge adulte.

MARIAGE :

  • Fait la rencontre de Thérèse Marzin grâce à Yffig et Raymonde Favennec, copains d'école et voisins des Marzin à Kermontet.
  • Sa future belle-mère, veuve en 1957, la réquisitionne les week-ends pour les travaux agricoles à Kermontet. Pour les gros travaux, Il emprunte quelques fois le tracteur de Jean Chaussy.
  • Messe de mariage dite par François Le Du, cousin de la mère d'Antoine.
  • Repas de fiançailles dans la grande baraque de Kerdry bâtie par Antoine. A priori pendant l'été 1956, avec la tante Marianne Le Du aux cuisines. Les frais à la charge des mariés. Un repas de fiançailles, plus modeste, fut aussi organisé à Kermontet.

ENFANCE :

  • Jeune, fait souvent des syncopes suite à des blessures légères.
  • Un jour, à 8-9 ans, tombe sous la table après s'être coupé le doigt avec une boîte de sardines.
  • Enfant à Ti-Dobi, il fait une péritonite. Le mèdecin ne peut descendre jusqu'à la maison par le chemin peu praticable. On doit le porter allonger sur une échelle.

LOGEMENTS :

  • Loue un petit appartement rue Nationale à Briec, puis un plus grand de 1959 à 1962.
  • En 1962-63 loue un appartement à Edern, avant d'emménager dans une maison neuvre à Croas-ar-Gac, en Ergué-Gabéric.

DECES :

  • Cancer démarré à l'oesophage et très vite généralisé. Arrêté en maladie fin janvier, entre à la clinique de Kermoysan, et revient à Ergué quelques semaines après.
  • Messe d'enterrement dite par Jean-Louis Morvan, recteur d'Ergué, et par Jean Plourin, aumonier des lycées de Quimper.

ARMEE :

  • Devance l'appel en 1952, engagé volontaire pour 2 ans. Affecté en Allemagne à Wetzlar (cf . photos N/B).
  • Y passe les permis moto et poids lourds. Puis moniteur de conduite. Après son service, achète une moto.
  • Passe au moins deux permissions à Paris chez sa tante Marie Anne Cholet. Monte une fois au sommet de la tour Eiffel. De retour en Allemagne, reçoit une lettre de Louis Cholet adressées par erreur à Antoine Antoine.

TRAVAIL :

  • En 1951, cantonnier aux Ponts et Chaussées de Pleyben.
  • De 1954 à 56, entreprise de transport agricole Halleguen à Briec, comme chauffeur de camion.
  • De 1956 à 62, même poste chez Pouliquen à Briec.
  • Aide aussi le frère Pouliquen pour la conduite des cars. Passe le permis de transports en commun en 1961.
  • En 1962, embauché aux papeteries Bolloré d'Odet, en Ergué-Gabéric. D'abord comme mousse, puis comme sècheur, puis comme conducteur de machine. Affecté à la machine 10 pendant ses dernières années. En 1974 est en chomage technique pendant deux semaines du fait des dégâts occasionnés par une inondation et un débordement de l'Odet dans les bâtiments de l'usine.

LOISIRS :

  • S'occupe bien de son jardin, surtout pour les tâches de préparation et de bêchage. A un jardin ouvrier dépendant de l'usine Bolloré en plus de son jardin personnel. Au jardin Bolloré se casse un jour 2 côtes en voulant extraire une pierre (la pierre "en creux" fut transportée plus tard par un tracteur à son domicile rue de Croas-ar-Gac).
  • Bricoleur avant tout. Construit des "baraques" ou dépendances de bois chez ses parents à Kerdry, puis chez lui à Ergué. Démarre un mur de pierre, mais qui sera achevé par un voisin après sa mort.
  • Adore les crustacés. Lorsqu'il fait les courses lui-même, revient souvent avec des crabes araignées.

Documents, dossiers